Il existe une manière de dire en bien énormément de mal de son prochain.
Apprendre à mourir ! Et pourquoi donc ? On y réussit très bien la première fois !
Je suis un Peau-Rouge qui ne marchera jamais dans une file indienne.
Il ne faut pas toujours tourner la page, il faut parfois la déchirer.
C’est très beau mais c’est très triste une mouche verte tombée dans un encrier d’encre rouge.
On devient fatalement gaucher quand on a perdu la main droite.
Un anathème n’a jamais tué une mouche.
Quand l’oiseau du futur replie ses ailes, nous tombons dans l’abîme.
On peut se découvrir comme on trouve un objet perdu.
On n’a jamais aussi soif qu’après avoir traversé un désert qui n’existe pas.
On fait de terribles économies au profit du néant.
On est toujours prisonnier de son dernier mouvement d’enthousiasme.
On est parfois prisonnier d’une parole qu’on n’a jamais donnée.
Même en mourant on garde ses préjugés.
L’imprévisible n’est jamais que l’arrière petit-fils du prévisible.
L’impondérable est ce qui vous pend au bout du nez.
L’exode, c’est sortir du ventre de sa mère.
Il faut savoir choisir ses ennemis en toute humanité.
Dans le plus petit village existe le sentier des amoureux.