Toute angoisse est imaginaire; le réel est son antidote.
Sur :
Chaque âge a ses plaisirs, son esprit et ses m½urs.
Sur :
La politesse est une petite chose, qui en prépare de grandes.
Sur :
La peur du gendarme est le contraire de la vertu, ou ce n’est vertu que prudence.
Sur :
Espérer, c’est désirer sans jouir, sans savoir et sans pouvoir.
Sur :
Une théorie nouvelle ne triomphe jamais. Ce sont ses adversaires qui finissent par mourir.
Sur :
Toute vertu est un sommet, entre deux vices, une ligne de crête entre deux abîmes.
Sur :
Quelque soit ce que nous appelons réalité, cela ne nous est révélé qu’à travers une construction active à laquelle nous participons.
Sur :
Philosopher, c’est penser sa vie et vivre sa pensée.
Sur :
Comment n’aimerait-on pas l’argent? Il faudrait n’aimer rien puisque l’argent mène à tout.
Sur :
Partir, c’est mourir un peu. Ecrire, c’est vivre davantage.
Sur :
Infiniment plus que tout : c’est le nom enfantin de l’amour, son petit nom, son nom secret.
Sur :
N’attendons pas d’être sauvés pour être humains.
Sur :
Mieux vaut une vraie tristesse à une fausse joie.
Sur :
La tradition c’est le choix des expériences les meilleures.
Sur :
Le salut sera inespéré ou ne sera pas.
Sur :
Le bonheur seul est salutaire pour les corps, mais c’est le chagrin qui développe les forces de l’esprit.
Sur :
La vrai générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent
Sur :
Le tremblé de l’air…
Sur :
La santé dépend plus des précautions que des médecins.
Sur :
C’est au moment ou un concept change de sens qu’il a le plus de sens.
Sur :