Ecrire est une vue de l’esprit. C’est un travail ingrat qui mène à la solitude.
Sur : SolitudeL’emprise de sa parole enflammée était irréfragable.
Sur : Nature humaineL’instruction obligatoire aboutit au plus bel élagage de la personnalité.
Sur : Ages de la vieLe seul fait d’exister est un véritable bonheur.
Sur : MoraleLa sérénité ne peut être atteinte que par un esprit désespéré.
Sur : Croyances et religionsL’univers est une digestion. Vivre est une action magique.
Sur : Relations humainesC’était un scrupuleux, un consciencieux.
Sur : DouteEcrire, ce n’est pas vivre. C’est peut-être survivre.
Sur : Nature humaineC’était un esprit calculateur, desséchant et d’ordre pratique.
Sur : Amour propreC’est dans ce que les hommes ont de plus commun qu’ils se différencient le plus.
Sur : Hommes / femmesAlors une forte odeur d’évier me pinçait les narines, me lardait de pointes d’alcali.
Sur : SociétéA l’origine n’est pas le mot, mais la phrase, une modulation. Ecoutez le chant des oiseaux !
Sur : SociétéA bord, il y a Johann August Suter, banqueroutier, fuyard, rôdeur, vagabond, voleur, escroc.
Sur : Qualités / défautsSi l’on a baptisé Jules Renard «l’œil», j’appellerai Picasso le «regard».
Sur : ApparencesRien n’est admissible ; sauf la vie, à condition de la réinventer chaque jour.
Sur : Ages de la viePour être désespéré, il faut avoir vécu et aimer encore le monde.
Sur : Relations humainesOn peut aussi se laisser bouler pour ne pas se faire mal quand on tombe de trop haut.
Sur : ExpérienceNous sommes tous l’heure qui sonne.
Sur : Temps qui passeUn tremblotant rayon, fade, anémié, bleui, de la grande lumière du dehors.
Sur : SciencesLe métier d’homme de guerre est une chose abominable et pleine de cicatrices, comme la poésie.
Sur : Poésie, Relations humainesL’aiguilleur monte dans sa vigie et fait se choquer les fils de fer devant nous …
Sur : Relations humainesla vie absurde qui remue ses oreilles d’âne.
Sur : Absurde, SociétéJe suis Breton, moi, et le métier de bistrot n’était pas pour me déplaire.
Sur : Condition humaineJe n’ai jamais vu un tel monument de chairs croulantes, débordantes.
Sur : Nature humaineIl s’envoyait des petits verres de vieille chartreuse. Il préférait la verte à la jaune.
Sur : ArtIl n’y a plus que la Patagonie, la Patagonie, qui convienne à mon immense tristesse.
Sur : Relations humainesDis donc, toi, ta gueule, hein, tu n’as pas fini de charrier, espèce d’enviandé !
Sur : SociétéDans chaque Allemand il y a un Alboche qui se réveille. Vous ne paraissez pas les connaître.
Sur : SociétéC’est un brave homme, mais un joyeux drille. Je crois qu’il n’a jamais dessoûlé.
Sur : Qualités / défautsVoyez-vous, le bonheur est une chimère, il n’existe pas, je n’y crois pas.
Sur : Qualités / défautsUne femme ne se donne jamais, elle s’offre toujours en sacrifice.
Sur : Hommes / femmes