Et hue donc ! bourrique ! Sue donc, esclave ! Vis donc ! Damné !
Sur : Nature humaineEntends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.
Sur : SociétéDans ta simplicité tu priais à genoux – Celui qui dans son ciel riait au bruit des clous.
Sur : Condition humaineCourons vers l’horizon, il est tard, courons vite, – Pour attraper au moins un oblique rayon.
Sur : SociétéCongédier la passion et la raison, c’est tuer la littérature.
Sur : ArtC’est le propre des œuvres vraiment artistiques d’être une source inépuisable de suggestions.
Sur : ArtC’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent !
Sur : Condition humaineCelui-ci était une espèce d’entrepreneur de sépultures, un marbrier fabricant de tombeaux.
Sur : Condition humaineCe qui est créé par l’esprit est plus vivant que la matière.
Sur : Croyances et religionsBientôt nous plongerons dans les froides ténèbres; – Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
Sur : ArtBeauté forte à genoux devant la beauté frêle !
Sur : Bonheur / malheurAprès un échec, tout n’est pas fini. C’est un cycle qui commence en beauté.
Sur : Bonheur / malheur, EchecsAnecdote du chasseur, relative à la liaison intime de la férocité de l’amour.
Sur : Amour propreAmis de la science et de la volupté, – Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres.
Sur : SciencesAmer savoir, celui qu’on tire du voyage !
Sur : Nature humaineUn bon portrait m’apparaît toujours comme une biographie dramatisée.
Sur : MoraleToute littérature dérive du péché.
Sur : LittératureVous avez disséminé votre personnalité aux quatre vents du ciel.
Sur : Nature humaineVolontiers je n’écrirais que pour les morts.
Sur : MortVous n’êtes que le premier dans la décrépitude de votre art.
Sur : ArtUn homme qui ne boit que de l’eau a un secret à cacher à ses semblables.
Sur : Condition humaineUn éclectique est un navire qui voudrait marcher avec quatre vents.
Sur : LibertéToute débauche parfaite a besoin d’un parfait loisir.
Sur : DésirTout homme qui n’accepte pas les conditions de la vie, vend son âme.
Sur : Ages de la vieTout de toi m’est plaisir morbide ou pétulant.
Sur : SentimentsTous les grands poètes deviennent naturellement, fatalement, critiques.
Sur : Développement personnelTon souvenir en moi luit comme un ostensoir !
Sur : ExistenceCertes, je sortirai, quant à moi, satisfait D’un monde où l’action n’est pas la sœur du rêve
Sur : ConsciencePour taper sur le ventre d’un colosse, il faut pouvoir s’y hausser.
Sur : PouvoirPlus l’homme cultive les arts, moins il bande.
Sur : Nature humainePlus encore que la vie – La mort nous tient souvent par des liens subtils.
Sur : Mort