Ah, ah ! vous n’en savez rien, espèces de mufles, tas de marsupiaux, graine de cornichons !
Sur : SociétéLe cimetière est un jardin où l’on vient apporter des fleurs une fois par an.
Sur : VieQuans je suis presque sûr, je donne ma parole d’honneur ; quand je suis sûr, je parie.
Sur : SociétéPlus je vieillis, plus j’ai d’avenir.
Sur : AvenirOn ne voit bien le mal de ce monde qu’à condition de l’exagérer.
Sur : Condition humaineOn devrait fonder une chaire pour l’enseignement de la lecture entre les lignes.
Sur : Nature humaineOn a toujours assez de force pour supporter les peines d’autrui.
Sur : Relations humainesNous crevons de la nostalgie de l’Etre.
Sur : ExistenceMon existence est une campagne triste où il pleut toujours.
Sur : Nature humaineMalheur à celui qui ne pleure pas.
Sur : ConscienceLes possédants sont possédés par ce qu’ils possèdent.
Sur : Condition humaineLes événements ont ceci de commun avec les oies qu’ils vont en troupe.
Sur : Nature humaineLe premier des biens, c’est le c½ur. L’esprit et la beauté n’en sont que les voiles.
Sur : Relations humainesLe monde moderne : une Atlantide submergée dans un dépotoir.
Sur : SociétéLe mauvais riche, c’est celui qui donne, parce qu’il gâche le métier.
Sur : SociétéLe travail est la prière des esclaves ; la prière est le travail des hommes libres.
Sur : Travail