Citation de

Y a-t-il une idée qui vaille qu’on s’y arrête ?
Sur :
Tu n’as pas eu le choix entre l’âge d’or et l’âge de pierre.
Sur :
Que voulez-vous donc la belle.
Sur :
Que son aîné fût amoureux expliquait l’extravagance de sa conduite.
Sur :
Poésie ô danger des mots à la dérive.
Sur : ,
J’ai réinventé le passé pour voir la beauté de l’avenir. »
Sur :
Ouvre si tu peux sans pleurer ton vieux carnet d’adresses.
Sur :
On reçoit du centre tant et tant d’exemplaires. Il faut les écouler.
Sur :
C’est alors qu’on se tourne et qu’on voit sa jeunesse.
Sur :
C’est par le travail que l’homme se transforme.
Sur :
Je ne serai pour personne une excuse, pour personne un exemple.
Sur :
L’amour est ta dernière chance. Il n’y a vraiment rien d’autre sur la terre pour t’y retenir.
Sur :
Le roman, c’est la clef des chambres interdites de notre maison.
Sur :
On sait que le propre du génie est de fournir des idées aux crétins une vingtaine d’années plus tard.
Sur :
La littérature est une affaire sérieuse pour un pays, elle est au bout du compte, son visage.
Sur :
Il n’y a pas de lumière sans ombre.
Sur :
Il n’y a pas d’amour heureux.
Sur :
Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop tard.
Sur :
Mon Dieu, comme le monde est encore jeune et beau !
Sur :
Les raisons d’aimer et de vivre varient comme font les saisons.
Sur :
J’ai réinventé le passé pour voir la beauté de l’avenir.
Sur :
L’éternité, l’éternité, laissez-moi compter jusqu’à 10.
Sur :
Certains jours, j’ai rêvé d’une gomme à effacer l’immondice humaine.
Sur :
L’avenir à chaque instant presse – Le présent d’être un souvenir.
Sur :
L’art du roman est de savoir mentir.
Sur :
Je chante parce que l’orage n’est pas assez fort pour couvrir mon chant.
Sur :