Presque tous les désirs du pauvre sont punis de prison.
Sur :
Que fait-on dans la rue, le plus souvent ? On rêve.
Sur :
Si les gens sont si méchants, c’est peut-être seulement parce qu’ils souffrent.
Sur :
Si on se laissait aller à aimer les gens gentils, la vie serait atroce.
Sur :
L’amour est absence de choix.
Sur :
Tout homme qui possède son alphabet est un écrivain qu’il ne faut pas méconnaître.
Sur :
Et puis sans milliards qu’espérer ! Rigoler un peu tout au plus.
Sur :
L’expérience est une lanterne qui n’éclaire que celui qui la porte.
Sur :
Etre seul c’est s’entraîner à la mort.
Sur :
L’amour c’est l’infini à la portée des caniches.
Sur :
On est puceau de l’Horreur comme on l’est de la volupté.
Sur :
L’amour, cet infini à la portée des caniches.
Sur :
La plupart des gens ne meurent qu’au dernier moment ; d’autres commencent et s’y prennent vingt ans d’avance et parfois davantage. Ce sont les malheureux de la terre.
Sur :
Le tout c’est qu’on s’explique dans la vie. A deux on y arrive mieux que tout seul.
Sur :
Les enfants c’est comme les années, on ne les revoit jamais.
Sur :
Le mensonge, ce rêve pris sur le fait, et seul amour des hommes.
Sur :
Quand on est aimé, on ne doute de rien. Quand on aime, on doute de tout.
Sur :
C’est des hommes et d’eux seulement qu’il faut avoir peur, toujours.
Sur :
Le peuple, il n’a pas d’idéal, il n’a que des besoins.
Sur :
L’histoire ne repasse pas les plats.
Sur :
On ne meurt pas de dettes, on meurt de ne plus pouvoir en faire.
Sur :
On ne se méfie jamais assez des mots.
Sur :
C’est l’émotion qui me bouleverse, me déconcerte, me coupe l’effet.
Sur :
L’âme, c’est la vanité et le plaisir du corps tant qu’il est bien portant.
Sur :
Le ventre des femmes recèle toujours un enfant ou une maladie.
Sur :
Ma nuit à moi, ce cercueil.
Sur :
On perd la plus grande partie de sa jeunesse à coup de maladresses.
Sur :
Dis à la Joconde qu’elle monte ! . . . les hommes faut qu’elle vous fasse les brêmes !
Sur :
L’amour c’est l’infini mis à la portée des caniches.
Sur :
Les grandes œuvres sont celles qui réveillent notre génie.
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Nous vivions un grand roman de geste’, dans la peau de personnages fantastiques.
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