+800 citations sur les conditions humaines

N’attendons pas d’être sauvés pour être humains.

Mieux vaut une vraie tristesse à une fausse joie.

Le tremblé de l’air…

On n’est jamais aussi vainqueur ni aussi vaincu qu’on se l’imagine.

Les difficultés ne sont pas faites pour abattre mais pour être abattues.

Il y a bien moins de difficulté à résoudre un problème qu’à le poser.

L’essence de toute intelligence est de connaître et d’aimer.

Le goût est la conscience du beau, comme la conscience est le goût du bon.

Rien de plus simple que de vieillir jeune. Il suffit de travailler dans la joie.

Si l’envie pouvait regarder fixement le soleil, elle ne verrait que ses taches.

L’imprévu n’est pas l’impossible : c’est une carte qui est toujours dans le jeu.

Je me suis souvent repenti d’avoir parlé, mais jamais de m’être tu.

La vieillesse, c’est quand on commence à dire : ‘Jamais je ne me suis senti aussi jeune.

Epouser une maîtresse, c’est mettre en hachis les restes d’un vieux gigot.

Pour critiquer les gens, il faut les connaître et pour les connaître il faut les aimer.

Pour ces messieurs, la moralité devient rigide quand le reste ne l’est plus.

Plus on pédale moins fort, moins on avance plus vite.

On ne m’enlèvera pas de l’idée que la connerie est une forme d’intelligence.

L’irrespect se perd. Heureusement, je suis là pour le rétablir.

L’humour a toujours été contre le pouvoir, quel que soit le régime.

Les vieux sont tous des cons, on devrait les tuer à la naissance.

Les statistiques, c’est comme le bikini : ça donne des idées mais ça cache l’essentiel !

Les politiciens, il y en a, pour briller en société, ils mangeraient du cirage.

Les hommes mentiraient moins si les femmes posaient moins de questions.

Hélas ! quand la critique est mauvaise, on n’est pas sûr que le spectacle soit bon.

Faire un malheur au théâtre, c’est faire plein de petits bonheurs.

Est-ce qu’on peut jouer Hamlet sans casser des oeufs, ça n’est pas sûr. . .

Devise syndicaliste : – Luttons pour le minimum. L’espoir fera le reste.

Deux coqs vivaient en paix ; une poule survint…

Coups de vent sur la côte bretonne où de forts pétroliers sont à craindre.

C’est pas le tout d’avoir des bagages, encore faut-il savoir où les poser.