+800 citations sur les conditions humaines

N’aime dans ton présent que sa part d’avenir.

Bougnat tu peux garder ton vin – Ce soir je boirai mon chagrin.

Dans la vie, il faut choisir entre le verbe « être » et le verbe « avoir ».

Les gens de cinquante ans aiment mieux que ceux de vingt ans, mais ils ne peuvent plus aimer tous les jours.

Il n’y a qu’un seul luxe dans la vie, c’est de pouvoir se tromper… Ce qui m’irrite le plus, c’est la prudence, l’immobilisme.

L’humour est la forme la plus saine de la lucidité.

La provocation est une façon de remettre la réalité sur ses pieds.

Nous voulûmes être des frères, nous ne sûmes même pas devenir des amis.

L’homme est bon, mais le veau est meilleur.

Le théâtre peut beaucoup là où du moins il y a suffisamment de vie.

L’avenir de l’humanité n’a d’intérêt que vu d’en bas.

Et gloire à ce soldat qui jeta son fusil – Plutôt que d’achever l’otage à sa merci.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère, je suis derrière.

Mourir pour des idées, l’idée est excellente – Moi j’ai failli mourir de ne l’avoir pas eu.

Aucune idée sur terre n’est digne d’un trépas.

Mourons pour des idées, d’accord, mais de mort lente.

Le gorille est supérieur à l’homme dans l’étreinte. Bien des femmes vous le diront.

La vie, c’est toujours amour et misère. La vie, c’est toujours les mêmes chansons.

Le cœur à vingt ans se pose où l’œil se pose.

Les serments d’amour m’irritent, se plaignait la marguerite. Aussitôt que débute une affaire sentimentale, j’y laisse tous mes pétales.

L’action est une suite d’actes désespérés qui permet de gagner l’espoir.

Je fuis mon semblable. Dans tout semblable, il y a un sosie.

Penser et raisonner font deux.

L’espoir est né de la crainte du lendemain.

Le tableau est fini quand il a effacé l’idée.

J’aime la règle qui corrige l’émotion. J’aime l’émotion qui corrige la règle.

Avec l’âge, l’art et la vie ne font qu’un.

Je trouve vomitive toute publicité personnelle.

Quand nous ne sommes plus enfants, nous sommes déjà morts.

On doit respecter le passé sans pour autant négliger l’avenir.

Globalisons les luttes pour globaliser l’espoir !