+800 citations sur les conditions humaines

Mettez en tout un grain d’audace.

Plaisante raison qu’un vent manie, et à tout sens !

Atteindre son idéal, c’est le dépasser du même coup.

Entre la mythomanie et la mégalomanie, il n’y a que l’épaisseur de la réussite.

Connais-toi toi-même.

Celui qui veut servir, ne gaspillera pas une seule pensée pour son confort personnel.

N’écoutez jamais un critique. Aucune statue n’a jamais été élevée à un critique.

Je n’aime pas être chez moi. A tel point que lorsque je vais chez quelqu’un et qu’il me dit : « Vous êtes ici chez vous », je rentre chez moi !

On peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui.

J’adhérerai à SOS-Racisme quand ils mettront un S à racisme.

Emma retrouvait dans l’adultère toutes les platitudes du mariage.

Ce qui distingue les adultes des enfants, c’est la taille de leurs jouets.

C’est fou comme les adultes sont enfantins. . . Ils sont enfantins mais vulgaires.

J’ai l’âge du sans-culotte Jésus ; c’est-à-dire 33 ans, âge fatal aux révolutionnaires.

Etre adulte c’est avoir pardonné à ses parents.

Etre adulte, c’est être seul.

Tout jeune, on pousse. Adulte, on se pousse. Vieux, les autres vous poussent.

On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère

Ce pinard est joyeux comme une ronde d’enfants.

Nos souvenirs sont des rots de l’âme à éventer d’un geste.

N’éveillez pas le con qui dort, c’est toujours ça de pris.

Se distraire, c’est essayer d’oublier le temps et, par conséquent, le perdre.

C’est rarissime, quelqu’un qui ne vous en veut pas des saloperies qu’il vous a faites.

L’instinct est une façon de ne pas penser.

L’instant qui va suivre ne vaut que par celui qui précède.

Les sens, va-t-en savoir ce qui leur passe par la tête.

Les moyens termes sont toujours des moyens ternes.

Les idées politiques, ce sont celles qu’adoptent les gens qui n’ont pas d’idées à eux.

Les hommes s’imaginent faire des enfants, alors qu’ils ne font que d’autres hommes.

Les idées préconçues sont des rails sur lesquels les individus se déplacent.

Les hommes ne savent pas vivre ! Heureusement qu’ils meurent !